• Elle... 1

    C'est mon anniversaire...

    J'ai envie de me faire un cadeau.

    Là, dans cette petite rue, une maison haute, blanche dans la nuit...

    J'avance sur le gravillon, je longe la voiture garée là. La porte de garage, fermée... Je fais jouer la porte qui coulisse sans trop de bruit. La porte se libère. J'entre. Le sous-sol est noir. J'attends que mes yeux s'habituent. Là, à droite, une autre pièce et un escalier. Je monte, tentant de ne pas faire de bruit. L'étage, une odeur de cuisine, l'escalier sur la gauche, je monte à nouveau, les marches craquent par moment, le palier que je connais. Elle est là, sa chambre, au fond à droite.

    Je pousse la porte, une douce lumière, elle s'est endormie la lampe encore allumée. Je la vois, couchée sur le côté. Je fais le tour du lit afin d'être derrière elle. Son lit est chaud.

    Je suis à genou derrière elle, sur le lit. Je lui prends l'épaule et la retourne, son corps résiste d'abord puis, d'un coup, se retourne. Ses yeux expriment l'effroi de la situation. Je plaque ma main sur sa bouche, de ma main, je lui indique les chambres de ses enfants et mets mon doigt sur la bouche. Je soulève légèrement ma main, l'appuie aussitôt, un cri allait sortir.

    Sous ma main, son visage se tord. Ses yeux me scrutent. Elle me reconnaît. Je l'ai rencontré quelques mois avant, et lui ai fait l'amour dans cette même chambre. Cela n'enlève rien à sa terreur.

    De mon autre main, je soulève la couette et découvre son corps, chaud, dans son grand tee-shirt. Je le soulève et découvre ses hanches et son pubis brun. Ma main, froide, force le passage, elle résiste. Je lui jette un regard. Elle comprend. Ses jambes se font moins dures. Je relâche la pression sur sa bouche, doucement, elle se calme, je lâche encore, elle aspire une grande bouffée d'air mais ne tente rien.

    Pendant ce temps, je continue, ma main entre ses jambes. Maintenant je la repousse pour qu'elle retrouve sa position initiale, sur le côté. Je vois maintenant ses reins, ses fesses que je ne peux m'empêcher d'immédiatement caresser. J'écarte cette magnifique raie, image que je gardais depuis tout ce temps en mémoire. Maintenant, trouver sa fente, y glisser mes doigts. Le premier contact est sec, serré. Je force doucement mais fermement. Ca y est, je sens l'humidité de son intérieur. J'enfonce. Elle se laisse faire. Je lui caresse l'intérieur, j'ai l'impression qu'imperceptiblement ses muscles se relâchent. Mes doigts sentent la légère humidité se transformer en liquide de plus en plus abondant. C'est une certitude.

    Je suis en passe de gagner. C'est maintenant qu'on va vérifier. Je sors mes doigts et des deux mains, j'écarte ses fesses découvrant sa fente trempée maintenant et son autre cavité. Elle se laisse faire. Je lui soulève la jambe, j'utilise le liquide qui trempe sa chatte et lui mouille la raie des fesses.

    D'un coup, j'entre en elle. Elle pousse un petit cri. Je commence un va et vient lent puis plus rapide. Parfois, je m'enfonce jusqu'au plus profond d'elle tentant de faire qu'elle me sente pousser au fond d'elle-même. Elle a attrapé son oreiller, l'a plaqué sur son visage pour couvrir les petits cris qu'elle ne semble pouvoir réprimer. Je la baise maintenant, avec vigueur. D'une main, je maintiens une pression sur son anus, progressivement je le sens s'assouplir. Je veux qu'elle comprenne ce que je vais lui faire. Mais elle ne réagit pas. Ma queue luisante de liquide sort de son antre, je la prends en main. Je la guide entre ses fesses, je sens son anus au bout de mon gland, c'est le moment. J'accentue la pression et au moment où je le sens se dilater, j'enfonce, elle pousse un soupir dans son oreiller. Je me glisse maintenant en elle, serré par le sphincter. Je m'y enfonce jusqu'à sentir sa peau à la naissance de mon ventre. Elle y prend plaisir !....... Moi aussi. Je ne veux pas que la situation dure, je laisse mon plaisir m'envahir et jouis très rapidement. Elle doit en être déçue mais ne dit rien. Je m'enlève rapidement. Elle a serré les fesses, semblant tenter de me retenir.

    Elle reste, là, la tête dans son oreiller. Je me rhabille rapidement. Elle ne bouge pas. Enfin, je me penche sur son oreille et lui murmure : « Je reviendrai. » et j'entends sa voix couverte par l'oreiller me répondre « Oui ». C'est tout. Je la laisse sur son lit, immobile. Et je m'en vais.


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